L’universitaire suédois, actif depuis plus de 20 ans dans les mouvements climatiques, publie, au sein du collectif Zetkin, Fascisme fossile. Dans ce texte, il montre comment l’extrême droite est passée d’un discours climato-négationniste à un nationalisme vert,
liant la question climatique à celle des frontières.

PAR CHRISTOPHE GUEUGNEAU ET VALENTINE OBERTI
ARTICLE PUBLIÉ LE LUNDI 7 DÉCEMBRE 2020 Médiapart